MAN 86828 138 — BDD 138
Le Roc-aux-Sorciers, cave Taillebourg.
Calcaire jurassique oolithique.
Long. max. : 54 cm ; L. max. : 35 cm.
Fragment calcaire du plafond de la cave Taillebourg ; bon état.
Numéro de restauration : bloc 640.
Collection Saint-Mathurin.
Technique : sculpture (bas-relief), incision (fond simple et fond double), raclage, piquetage, peinture rouge.
Les gravures sont nombreuses et de deux types : fines et marquées, ou profondes. Elles sont surtout placées sur le corps de l’animal sculpté, dans sa partie supérieure, mais nous en observons également sur le devant de la sculpture et au-dessous de celle-ci.
La nature de ces gravures est variée : soit les gravures participent au rendu des formes, soit elles sont de nature plus technique, relèvent la sculpture ou participent à l’aménagement de la surface. Les gravures profondes sont nettement figuratives, alors que la plupart des plus fines ne le sont pas. Nous remarquons en effet de nombreux tracés fins dans les parties profondes de la sculpture (surtout au niveau de la ligne de ventre de l’animal sculpté). Elles viennent alors appuyer cette ligne et en marquer la profondeur.
Nous observons également de nombreuses gravures fines sur le corps de l’animal sculpté, essentiellement orientées en oblique et associées de façon parallèle. Elles sont toutes orientées dans ce sens. Elles résultent probablement du passage d’un outil ayant servi à régulariser la surface ou à la polir. Mais elles ne semblent pas figurer quoi que ce soit. Les gravures fines reflètent ici les vestiges de gestes techniques, soit lors de la création des œuvres, soit lors d’interventions sur la morphologie de la surface.
Les gravures figuratives sont quant à elles concentrées sur le corps de l’animal sculpté, et il ne s’agit que de gravures profondes. La plupart des gravures profondes sont obliques, forment des cercles, des ovales, voire des formes plus complexes. Quelques gravures profondes ont une trajectoire horizontale et sont rectilignes, mais elles sont peu nombreuses. D’un point de vue technique et chronologique, nous notons, d’une part, une alternance récurrente entre l’utilisation d’un outil à pointe unique et d’un outil à plusieurs pointes et, d’autre part, une superposition intéressante des gravures.
Concernant les fonds de traits des gravures, nous constatons effectivement des fonds de trait simples et multiples. Les fonds de trait multiples, dus à un outil au tranchant irrégulier, concernent surtout de longs tracés profonds et circulaires, tandis que les fonds de trait simples, dus à un outil au tranchant fin et régulier, concernent surtout des tracés rectilignes. Nous observons donc deux types de tracés réalisés avec deux outils différents.
Lorsque nous examinons les superpositions des gravures, nous constatons des comportements techniques particuliers. Les gravures profondes viennent systématiquement se superposer aux gravures fines. La surface a donc d’abord été régularisée par un raclage léger, puis décorée par des incisions profondes au fond de trait multiple, de forme circulaire. Les gravures profondes simples et longitudinales sont elles aussi sous ces gravures profondes au fond de tracé multiple et de forme circulaire. Par contre, les gravures simples et profondes ayant aussi des trajectoires circulaires ou géométriques ne sont pas superposées à d’autres gravures profondes.
Nous déterminons alors deux temps pour l’exécution de ces gravures : d’abord un raclage de la surface suggéré par les gravures fines, puis la création de figurations à l’aide de gravures profondes, le plus souvent au fond de tracé multiple.
L’ensemble de ces observations techniques permettent de mieux comprendre les complexités techniques de la gravure sur ce bloc, et plus globalement, de saisir la véritable maîtrise artistique des Magdaléniens du Roc-aux-Sorciers. Elle se révèle aussi bien dans les gestes que dans le choix des thèmes. Nous sommes immédiatement saisis par l’expression figurative qui ressort en suivant ces longues lignes courbes. Nous reconnaissons la représentation de silhouettes humaines vues de profil, ces formes en demi-cercle et les formes en amande étant très évocatrices des représentations humaines, au Roc-aux-Sorciers ou à La Marche. Sur ce dernier site, de nombreux « yeux isolés » ont été reconnus par le docteur Léon Pales. Nous connaissons par ailleurs ces formes en amande type « œil isolé », sur un autre bloc portant un humain sculpté gravé et peint, provenant lui aussi de la cave Taillebourg au Roc-aux-Sorciers.
La reconnaissance des sujets passe par ces comparaisons, par les formes très évocatrices de ces contours crâniens et également, dans ce contexte particulier, par la figuration très nette d’une oreille humaine très réaliste. Il est important de noter que la représentation de l’oreille est quasi absente du répertoire iconographique humain ; aussi, lorsqu’elle est présente, c’est un détail à mentionner. Il est étonnant de constater que des populations de chasseurs-cueilleurs, pour lesquels l’ouïe devait avoir une grande importance dans le traitement de leur propre image, aient systématiquement choisi de ne pas représenter ce détail anatomique sauf sur quelques cas exceptionnels comme sur ce bloc.
Nous identifions ces formes comme étant des profils céphaliques humains isolés, se juxtaposant et s’imbriquant au sein d’un ensemble de traits gravés. Ces têtes humaines regardent à gauche et sont incomplètes. Seule la répétition des lignes fronto-nasales, des courbures crâniennes et des lignes de nuque ont été figurées, avec la représentation d’« yeux associés ». Ces têtes humaines isolées, mais très segmentaires, s’approchent d’un type très schématique de représentation, mais nous ne pouvons les qualifier de fantomatiques ou de sommaires. En effet, leurs formes tracées et leur justesse les placent dans un type de réalisme très simpliste dans le détail, mais exact dans l’anatomie. Il est d’ailleurs assez étonnant de voir se dégager une expression sur ces têtes humaines, alors qu’elles sont quasiment dépourvues de tout ce qui fait l’expression humaine : pas de bouche, pas d’yeux nettement représentés, pas de visage, mais pourtant une présence bien réelle.
Nous dénombrons ainsi trois têtes humaines de profil gauche de type réaliste simple. Le sujet d’extrême gauche n’est suggéré que par deux détails anatomiques, la ligne du front et du nez, en forme de pied de marmite, très réaliste. En face de lui, les figures se superposent et se mêlent dans les tracés, rendant la lecture difficile, mais nous pouvons néanmoins isoler au minimum deux silhouettes humaines également très segmentaires, réduites au contour crânien et œil. Il s’agit plus précisément de lignes de profils fronto-crâniens, et nous en remarquons trois côte à côte.
La forme la plus remarquable est une ligne simple qui fait un demi-cercle complexe. Cette forme en association avec les profils humains permet sans hésiter d’y reconnaître une oreille, très réaliste et parfaitement placée. Cette oreille peut être associée aux trois lignes de profils humains. Il y alors comme un « jeu de mouvement » entre ces figures qui semblent liées entre elles par cette oreille unique. À droite de celle-ci, près de son lobe inférieur, nous remarquons un cercle en amande fermé fait d’un trait bien marqué. Il pourrait suggérer un œil isolé. Il s’agit d’une probable figure de face humaine, en tenant compte de cet œil isolé : la base du lobe de l’oreille faisant office de deuxième œil, et les traits gravés en forme de boucle, pouvant représenter un nez. La lecture d’une face humaine est probable.
Un animal est sculpté, orienté vers la droite, qui devait être à l’origine complet, les zones de fractures ayant emporté la tête et l’arrière-train. Les pattes avant sont courtes, rectilignes et jointes. Elles sont très détaillées, avec notamment l’ergot et les sabots. Le pli du poitrail est géométrisé en forme de goutte : cette stylisation est typique pour ce détail anatomique au Roc-aux-Sorciers. Jusqu’à présent, il a été associé à des figurations de bisons ou de bouquetins. Il souligne un poitrail large. Il permet peut-être d’orienter l’identification de cet animal sculpté. Les pattes arrière sont fracturées et ne sont visibles qu’au niveau de l’aine, où le pli est marqué là aussi comme sur les autres sculptures, tels les bouquetins. La ligne du ventre est très bien marquée, en relief épais vers l’arrière-train, et plus atténué vers l’avant-train. Le corps est massif et régulier, et fait penser à un corps de bouquetin, la morphologie du pli de l’aine, de la ligne de ventre et celle de la ligne de dos nous conforte dans ce sens. Cette ligne de dos est sculptée en un relief très marqué, mais dont les parties supérieures semblent avoir été endommagées volontairement, car comme nous l’avons dit, les écailles sont très régulières, rectilignes et suivent parfaitement cette ligne de dos. Sa détermination reste hypothétique : bouquetin ?
Des traces de coloration sont visibles en divers endroits du bloc, sur l’animal, au niveau de son poitrail, et devant ses pattes arrières, mais aucune forme figurative ne ressort. La distribution des plages colorées s’accorde parfaitement avec l’état de surface. Les écailles ont emporté gravure et peinture. La couleur était bien présente sur ce bloc avant son altération naturelle. Au-dessous de l’animal sculpté, là où l’Homme a volontairement détérioré la surface, ne subsiste plus aucune trace de couleur ni de gravure. Il se pourrait que de la couleur se soit trouvée à cet endroit-là, mais il n’en reste aucune trace. Là où la couleur est présente, elle apparaît sous forme de plages plus ou moins nettes de coloration rouge, mais cependant très présente et très vive. Ces plages sont concentrées en bandes sur l’avant-train du « bouquetin », autour de son pli de poitrail, sur l’attache de sa patte arrière, et sur la partie arrière de la ligne de dos, où malheureusement une grande et mince plaque de calcaire a emporté le reste de la couleur.
Nous remarquons une autre plage importante de coloration rouge devant le poitrail de l’animal. Il s’agit de zones denses qui, par endroits, suivent parfaitement le dégagement de la sculpture. Nous ne pouvons dire s’il s’agit alors d’une volonté picturale de mettre en valeur le poitrail de l’animal sculpté, ou s’il s’agit plutôt du résultat de la succession des réalisations. Dans ce cas, il semblerait que la surface fut colorée dans un premier temps, puis la sculpture est venue l’endommager et créer cette démarcation visible entre couleur et sculpture.
Néanmoins, que ce soit sur la frise de l’abri Bourdois ou sur les blocs effondrés de la cave Taillebourg, la couleur rouge n’a jamais un rôle figuratif, mais au contraire, joue plutôt un rôle périphérique aux figures, peut-être pour les mettre en valeur. Ainsi sur le bloc décoré d’un profil humain sculpté gravé et peint, les plages de coloration rouge se trouvent autour du profil, et notamment entamées par celui-ci. Nous nous trouvons dans un cas similaire avec des représentations humaines où la couleur rouge n’est pas associée aux figures, mais se distribue autour d’elles.
Par rapport aux humains gravés, les observations ont montré que le plus souvent, les gravures profondes viennent essentiellement se superposer à la coloration rouge. Nous pouvons donc penser que ce bloc a d’abord été peint, puis sculpté/gravé, avec une préparation de la surface qui a endommagé la couleur. Mais cette tendance n’est pas exclusive : il existe également des traits gravés très profonds remplis de couleur rouge. Toutes ces superpositions indiquent une succession d’actions sur cette surface, avec certainement plusieurs phases de créations et d’interventions, très lisibles notamment avec l’étude de la coloration.
Un autre élément graphique original sur ce bloc est la représentation d’une forme rectangulaire obtenue par un alignement de petites cupules surchargées d’un trait gravé très fin. Cette forme géométrique a été endommagée par la fracture du bloc au moment de son détachement de la paroi. Malgré cet état de surface, il demeure en partie conservé.
L’alignement des points est composé de petites cupules peu profondes mais bien marquées, obtenues par rotations successives d’un objet pointu. Nous observons 47 cupules alignées de manière discontinue. Ces cupules viennent endommager le tracé gravé finement, ce qui indique que la forme a d’abord été gravée finement, puis que l’artiste a aligné les cupules sur la gravure.
L’interprétation de cette forme reste énigmatique, mais son implication dans la composition graphique reste évidente. Une grande partie de la couleur et des gravures est circonscrite dans cette forme rectangulaire. Cette dernière se trouve sur le corps du « bouquetin » sculpté. Il n’est pas possible de faire une analyse chronologique des superpositions, car gravure et sculpture sont en dehors de toute superposition. Néanmoins, nous ne pouvons détacher cette forme originale du reste des figurations. Cela étant, pouvons-nous parler de composition, d’association volontaire ? C’est bien là que réside une des questions que pose l’étude de ce bloc.
Les bords sont entièrement fracturés et présentent des surfaces éclatées. Ces fractures sont toutes anciennes. La face décorée présente un aspect plus ancien, bien conservé, mais néanmoins écaillé. Les bords fracturés ont emporté des éléments de la décoration, et aucune trace anthropique ancienne n’a été observée sur les faces d’éclatement du bloc. Il s’agit d’un bloc d’art pariétal, détaché naturellement de la paroi au moment de l’effondrement généralisé scellant les occupations humaines du Magdalénien moyen. Aucune trace de fractures récentes n’a été décelée, excepté quelques traces de coups modernes. La face décorée présente donc un état de surface ancien et bien conservé. Cependant, deux zones peuvent être distinguées. L’une concerne la surface sculptée, l’autre les zones autour de la sculpture. La zone sculptée offre une surface lisse, polie anciennement. De la couleur et des gravures fines sont visibles, indiquant une surface originelle. Celle-ci se trouve concentrée essentiellement sur la partie droite du bloc (en relation avec l’avant-train de l’animal sculpté), mais localisée dans la partie supérieure du bloc. Par contre, à gauche du bloc, partie arrière de la sculpture, et dans toute la partie inférieure, partie basse du corps de l’animal, de nombreuses écailles affectent la surface. Sur l’arrière-train, il s’agit de fines écailles, assez larges, qui se sont détachées, comme un mille-feuilles, emportant avec elles des éléments du décor. Ces éclatements anciens, en fines plaques, ont laissé une surface érodée et accidentée. Par contre, des écailles anciennes, de dimensions plus réduites et sur une surface plus restreinte, se distinguent sur la zone inférieure de la partie sculptée. Sur l’ensemble de cette surface sculptée, les négatifs d’arrachement et l’état très patiné des éclats permettent de dire qu’il s’agit d’écailles naturelles et anciennes. Il y a donc deux types de conservation de la surface : une assez bien préservée, avec la présence des gravures fines/profondes et des éléments de coloration, une autre assez accidentée (écailles et plaques fines), ayant subi des détériorations anciennes, mais parée également de gravures et de colorations magdaléniennes. Une fissure naturelle, également ancienne, vient endommager le ventre de l’animal sculpté. Les zones du bloc entourant la partie sculptée sont au contraire dans un état de conservation différent. Les écailles sont plus nombreuses et profondes. Il ne reste quasiment pas de surface originelle, et l’absence de gravure comme de colorations nous conforte dans cette observation. Seuls, à droite du bloc, quelques vestiges de gravure et de coloration (surtout devant les pattes antérieures de l’animal sculpté) sont observables et montrent que toute la surface du bloc devait être à l’origine décorée. La nature de ces différents états de conservation est en elle-même très intéressante. En effet, il est possible de percevoir des altérations naturelles et anciennes sur le bloc, comme les faces d’arrachement, les écailles ou éclats de surface, comme c’est surtout le cas sur l’arrière-train de l’animal sculpté. Sur le reste de la surface étudiée, la question de la nature des altérations reste posée. Leurs localisations particulières (partie médiane et basse de l’animal sculpté, ainsi qu’autour de celui-ci), leur agencement et leur concentration, incitent à les interpréter comme le résultat d’une intervention anthropique paléolithique. Dans la partie basse du corps de l’animal sculpté, la zone de gravures anciennes est endommagée. Nous avons à cet endroit les traces d’une intervention volontaire, comme destinée à les effacer. Cette altération volontaire des éléments graphiques a pu intervenir aussi bien après l’effondrement qu’avant, alors que le bloc était encore dans sa position pariétale. Par ailleurs, les coups portés, et très nettement visibles tout au long de la ligne de dos de l’animal sculpté, nous confortent dans cette hypothèse. Nous pouvons alors envisager une détérioration volontaire à un moment donné par les Paléolithiques des zones décorées. Si tel est le cas, la question est de savoir pourquoi. Les détériorations volontaires d’objets décorés ne sont pas rares dans l’art paléolithique, comme sur les plaquettes gravées brisées volontairement à Isturitz, et encore moins rares au Roc-aux-Sorciers, où les phénomènes de retailles, de modification des surfaces décorées ont été relevés à plusieurs reprises. Ces altérations et leur nature différente renseignent déjà sur la vie de ce bloc gravé, sculpté et peint, qui, par ailleurs porte un décor riche d’un point de vue thématique. Le bloc TC640, de grandes dimensions, abonde en informations et renseignements, mais pose plus de questions qu’il n’apporte de réponses. Il faudra attendre l’étude généralisée des autres blocs effondrés de la cave Taillebourg, pour comprendre la place de celui-ci, tant sur le plan topographique que sur le plan iconographique. Cependant, ce bloc montre une richesse technique et thématique à la hauteur du site du Roc-aux-Sorciers, unique et original. Unique dans ses traitements techniques et chronologiques, dans le choix préférentiel des outils utilisés (pour les gravures notamment), et dans les superpositions des vestiges graphiques. Même fragmentaire, ce bloc incomplet apporte une quantité d’éléments déterminants pour l’étude de l’art au Roc-aux-Sorciers. Tout d’abord par la représentation du thème humain, mais cette fois-ci présenté de manière réaliste et non détaillée, à l’aide de courbes assez systématiques – un cas jusque-là unique à Angles. Puis, par la présence de colorations rouges, associées une nouvelle fois au thème humain, et enfin par la présence d’une forme rectangulaire gravée finement et soulignée par une série de cupules. L’ensemble de ces éléments pictographiques est superposé à un animal sculpté, reconnu comme un bouquetin probable. La superposition de ces éléments, le réaménagement possible des surfaces, incitent à penser que ce bloc a été perçu comme une surface à part entière à décorer, à aménager, mais dans son contexte pariétal. L’effondrement du bloc a certes scellé les occupations humaines, mais a également mis un terme à « la vie décorative » du bloc. Après effondrement, il n’y a plus eu d’intervention graphique. La surface a été modifiée, décorée, superposée d’éléments différents, dans son contexte d’origine, pariétal. Les humains gravés replacent avec force ce thème si particulier dans l’art du Roc-aux-Sorciers, mais aussi, et plus largement, dans l’étude des sociétés humaines au Magdalénien moyen. La systématisation des études des blocs effondrés de la cave Taillebourg, et une étude plus large de notre représentation et du rôle de la couleur dans cet art, pourront certainement donner plus de profondeur à ce bloc qui reste en lui-même d’une grande richesse technique et artistique.
Inédit. La bibliographie correspond à des références permettant d’analyser ce bloc.
G. Pinçon et al., Le Roc-aux-Sorciers. Relevés d’art pariétal, rapport d’activités intermédiaire, 2006.
O. Fuentes, « La question du réalisme dans l’art paléolithique et le problème de l’identité culturelle à travers l’étude des têtes humaines isolées des sites magdaléniens du Roc-aux-Sorciers », mémoire de maîtrise, université Paris I Panthéon-Sorbonne, 2000, 116 p., 15 p. annexes.
O. Fuentes, « À la recherche des indices identitaires de la figuration humaine dans l’art magdalénien du Sud-Ouest français », mémoire de DEA, université Paris I Panthéon-Sorbonne, 2001, 58 p., 3 pl.
L. Pales, M. Tassin de Saint-Péreuse, Les Gravures de La Marche, tome II : Les Humains, Paris, Orphys, 1976, 178 p., 42 fig., 188 pl.
L. Iakovleva, G. Pinçon, Angles-sur-l’Anglin (Vienne). La frise sculptée du Roc-aux-Sorciers, RMN, CTHS, 1997, 168 p.
S. de Saint-Mathurin, « Bas-relief et plaquette de l’homme magdalénien d’Angles-sur-l’Anglin », Antiquités nationales, n° 5, 1973, p. 12-19.
I. Auzanne, O. Fuentes, « Le “sorcier” du Roc-aux-Sorciers à Angles-sur-l’Anglin (Vienne, France) : nouveaux éléments d’analyse », Antiquités nationales, n° 35, 2003, p. 41-54.
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 120
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 127
Bloc sculpté et peint, BDD 128
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 129
Bloc gravé et peint à anneaux, BDD 331
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 147
Gravures fines et vestiges de sculptures et de peinture, BDD 321
Tracé rouge indéterminé, BDD 258
Tracé rouge indéterminé, BDD 259
Aplat et taches rouges, BDD 264
Ponctuation rouge foncé, BDD 265
Lignes ponctuées rouges (signe quadrangulaire ?), BDD 286
Bison sculpté in situ, BDD 121
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 145
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 149
Bloc sculpté et peint, BDD 151
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 166
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 169
Tête humaine sculptée, BDD 249
Bloc sculpté et gravé, BDD 141
Bloc sculpté et gravé, BDD 142
Bloc sculpté et gravé, BDD 143
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 145
Bloc sculpté et gravé, BDD 146
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 147
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 149
Bloc sculpté et peint, BDD 151
Bloc sculpté, gravé et peint (dit « le Sorcier » ou « le Jocond »), BDD 152
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 166
Bloc sculpté et gravé, BDD 167
Bloc sculpté et gravé, BDD 168
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 169
Bloc sculpté et gravé, BDD 170
Bloc sculpté et gravé, BDD 171
Gravures fines et vestiges de sculptures et de peinture, BDD 321
Registre de gravures fines, BDD 292
Registre de gravures fines, BDD 322
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 120
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 127
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 129
Bloc gravé et peint à anneaux, BDD 331
Bloc sculpté et gravé sur deux faces, BDD 123
Bloc sculpté et gravé, BDD 137
Bloc sculpté et gravé, BDD 141
Bloc sculpté et gravé, BDD 142
Bloc sculpté et gravé, BDD 143
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 145
Bloc sculpté et gravé, BDD 146
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 147
Bloc sculpté, gravé et peint (dit « le Sorcier » ou « le Jocond »), BDD 152
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 166
Cheval sculpté (« cheval de la découverte »), BDD 235
Bison sculpté (« bison couché »), BDD 236
Cheval sculpté (« cheval inclinant la tête »), BDD 237
Bison sculpté (« bison en boule »), BDD 248
Tête humaine sculptée, BDD 249
Gravures fines et vestiges de sculptures et de peinture, BDD 321
Bouquetin sculpté (« bouquetin tournant la tête »), BDD 251
Bouquetin sculpté (« étagne », « bouquetine »), BDD 257
Tête de capridé sculptée, BDD 268
Tête d’équidé sculptée, BDD 271
Vestiges de sculptures, BDD 284
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 120
Bison sculpté in situ, BDD 121
Animal indéterminé sculpté in situ, BDD 122
Bloc sculpté et gravé sur deux faces, BDD 123
Bloc sculpté monumental, BDD 124
Bloc sculpté et gravé, BDD 137
Bloc sculpté et gravé, BDD 141
Bloc sculpté et gravé, BDD 142
Bloc sculpté et gravé, BDD 143
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 145
Bloc sculpté et gravé, BDD 146
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 147
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 149
Bloc sculpté et peint, BDD 151
Bloc sculpté, gravé et peint (dit « le Sorcier » ou « le Jocond »), BDD 152
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 166
Bloc sculpté et gravé, BDD 167
Bloc sculpté et gravé, BDD 168
Bloc sculpté, gravé et peint, BDD 169
Bloc sculpté et gravé, BDD 170
Bloc sculpté et gravé, BDD 171
Geneviève Pinçon, Aurélie Abgrall, Camille Bourdier, Oscar Fuentes
Dernière modification de la notice : 2008-04-18
© Réunion des musées nationaux – 2009
Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : cliché de la face ornée..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Suzanne Cassou de Saint-Mathurin.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé analytique complet de la face ornée..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé de l’état de surface..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé des gravures fines et des gravures profondes..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé sélectif des gravures figuratives observées..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé de la sculpture..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé de la peinture rouge..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : relevé du rectangle réalisé à l’aide de petites cupules..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Oscar Fuentes, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : cliché du relevé en cours de réalisation..
© MAN, Geneviève Pinçon, Philippe Plailly, ill. Philippe Plailly, 2006.
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Bloc 640 de la cave Taillebourg (BDD 138) : légende du relevé analytique..
© MAN, Geneviève Pinçon, ill. Aurélie Abgrall, 2008.